Ergebnisse | Bibliografie der Benelux-Grenzgeschichte

TSCHACHER, Werner, 2023. Landschaftsnamen als Textur und Identitätskonstrukt. Die Benennungen des Minetts. Hémecht. Zeitschrift für Luxemburger Geschichte = Revue d’histoire luxembourgeoise. 2023. Bd. 75, Nr. 3, S. 286–312

DAUPHANT, Léonard, 2021. L’historiographie des frontières et des espaces frontaliers en France depuis trente ans. Francia. 2021. Bd. 47, S. 295–306. DOI https://doi.org/10.11588/fr.2020.1.86574

GOERTZ, Willi, 2021. Ein sicheres Refugium in den Niederlanden. Das Schicksal deutscher Ordensgemeinschaften während des Kulturkampfes. Geschichte im Bistum Aachen. 2022 2021. Bd. 16, S. 223–264

RAU, Susanne, 2021. Grenzen und Grenzräume in der deutschsprachigen Geschichtswissenschaft. Francia. 2021. Bd. 47, S. 307–321. DOI https://doi.org/10.11588/fr.2020.1.86575

WASSENBERG, Birte, 2021. The Approach of Contemporary History to Border Studies in Europe. Christian WILLE, Dominik GERST und Hannes KRÄMER (Hrsg.), Identities and Methodologies of Border Studies. Recent Empirical and Conceptual Approaches. 2021. Bd. 6, S. 113–125. DOI https://doi.org/10.25353/ubtr-xxxx-e930-87fc

Inhaltstext: „In Europe, Border Studies is a relatively new research field for Contemporary History. It has been explored since the 1990s by historians mainly in connection with Area Studies and the History of European Integration. It therefore finds itself at the intersection between International Relations and European Studies. This contribution will assess how Contemporary Historians in Europe interpret Border Studies. It will show that, contrary to international scholars who approach Border Studies generally via Global History, they are dealing with this field either by individual case studies on the border in cross-border regions (Area Studies) or as a sub-section of research on the process of European Integration. It will also argue that, when historians are ready to take open up to new research methodologies and take on a multi-disciplinary and multi-scale perspective, they can largely contribute to Border Studies by means of a long-term, historically context-based approach to borders and borderlands.“

JOTTRAND, Maxime, 2017. La frontière linguistique en Belgique et dans le Nord de la France de Godefroid Kurth (1847–1916). Historiographie de l’origine d’une controverse. Revue belge de Philologie et d’Histoire. 2017. Bd. 95, Nr. 2, S. 369–399. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2017.9037

Aus den Verlagsangaben: „La frontière linguistique en Belgique et dans le Nord de la France of Godefroid Kurth (1847–1916). Historiography of the Origin of a Controversy. Since the publication of "La frontière linguistique en Belgique et dans le Nord de la France (1896–1898)", the Belgian study of the historical origin of the demarcation between Germanic and Romance people cannot be written without referring to this fundamental work. The author, Godefroid Kurth contributed in shaping a historical object in regards to its methodological, chronological and topographical aspects. This work takes place in a national as well as European continuum. In the second half of the nineteenth century, the definition of a national identity is conceived according to criteria considered as scientific. In this configuration, the linguistic and racial elements were strongly mobilized. Our ambition with this paper is to go back to the redaction context of Kurth’s book, and thereby understand the sources of the historical but also topographical issue of the Linguistic Frontier in Belgium.“

KNOTTER, Ad, 2016. Zo dicht bij elkaar, maar toch heel anders. Eigendomsverhoudingen, productie en werkgelegenheid in de vier mijnbouwgebieden in het Maas-Rijngebied. Studies over de sociaal-economische geschiedenis van Limburg/Jaarboek van het Sociaal Historisch Centrum voor Limburg. 2016. Bd. 61, S. 108–135. DOI https://doi.org/10.58484/ssegl.v61i12431

DÖRING, Alois, 2015. Brauchtum im Grenzland. Pilger - Konfirmanden - Schnadegänger. Konstrukte von Grenzen, Grenzziehungen und Grenzüberschreitungen in Raum und Zeit. Unser Bocholt. 2015. Bd. 66, Nr. 4, S. 7–23

RABEN, Herbert und Ralf TYBORCZYK, 2015. Sechs Uhren für die gute Nachbarschaft. Zur Geschichte der grenzüberschreitenden Eisenbahnstrecke Laarwald - Coevorden. Bentheimer Jahrbuch. 2015. S. 217–228

ALBERS, Lutz, 2014. Die Grenze im Wasser. Die Grenzziehung im Ems-Dollart-Raum zwischen den Niederlanden und Deutschland kam erst relativ spät in der Kartographie zum Tragen (Frisia Orientalis - Ostfriesische Geschichte in alten Karten ; Teil 5). Ostfriesland-Magazin. 2014. Nr. 2, S. 64–67

BRÜLL, Christoph, 2014. Une frontière comme lieu de mémoire. L’espace frontalier belgo-allemand. Les Cahiers Nouveaux. 2014. Bd. 89, S. 39–41

KNOTTER, Ad, 2014. Mijnbouw en grensarbeid in het Nederlands-Belgisch-Duitse grensgebied, 1900–1973. Een overzicht. Studies over de sociaal-economische geschiedenis van Limburg/Jaarboek van het Sociaal Historisch Centrum voor Limburg. 2014. Bd. 59, S. 125–138. DOI https://doi.org/10.58484/ssegl.v59i12412

BÊCHET, Christophe, 2013. La Meuse comme « Barrière » ? Regards croisés sur une frontière stratégique entre la France et l’Allemagne (1870–1914). Revue belge de philologie et d’histoire. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1155–1186. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2013.8483

Abstract: "En marge des tractations de Londres de 1831, le maintien d’une garantie secrète – relative à la défense des forteresses belges par les Puissances en cas de guerre avec la France – transféra le fardeau de l’ancienne «Barrière des Pays-Bas » sur les épaules fragiles du nouveau Royaume de Belgique. À la grande satisfaction du Gouvernement belge, l’évolution des relations internationales relégua ensuite cette «convention des forteresses » aux oubliettes de l’histoire. Cependant, après la guerre franco-prussienne de 1870–1871, la probabilité d’un passage des armées française et allemande par la vallée de la Meuse s’accrut sensiblement. En conséquence, les villes de Liège et de Namur furent ceinturées de forts modernes. Ce changement de paradigme défensif suscita de nombreux commentaires diplomatiques et militaires en Belgique et à l’étranger. Dans le même temps, les nouvelles lignes de chemins de fer établies entre Meuse et Rhin conféraient un intérêt stratégique accru à la région Ardenne-Eifel. Au final, ces transformations de l’espace frontalier altérèrent les plans de guerre français et allemands. Au début du XXe siècle, la Meuse belge fut considérée par les stratèges avec un regard entièrement neuf."

BÊCHET, Christophe, Christoph BRÜLL, Florence CLOSE, Anthony DIGNEF und Catherine LANNEAU, 2013. Penser la frontière entre Meuse et Rhin. Introduction. Revue Belge de Philologie et d’Histoire [online]. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1115–1122. Verfügbar unter: https://www.persee.fr/doc/rbph_0035-0818_2013_num_91_4_8479

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MOREAU DE GERBEHAYE, Claude de, 2013. La frontière, miroir des conceptions de l’État à l’époque moderne. Revue belge de philologie et d’histoire. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1227–1238. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2013.8487

Abstract: „La frontière signifie bien davantage qu’un simple tracé linéaire sur une carte géographique. Car ce tracé est une limite territoriale porteuse de pouvoirs politiques et de souveraineté. La frontière a connu des expressions différentes au fil des siècles : les tracés géométriques contemporains marquent les esprits à tel point (de la ligne bleue des Vosges, au rideau de bambou, au mur israélien en construction) que d’autres expressions deviennent impensables. Elles sont l’expression contemporaine de notions remontant à l’Antiquité (limes, mur d’Hadrien) et remises à l’honneur aux temps modernes (pré carré, frontières «naturelles » ) avec la résurgence de l’État. Une attention particulière est portée sur les modalités d’expression des séparations entre entités politiques : zones, condominium, enclaves territoriales, dépendances personnelles. Ensuite, le concept de frontière sera observé à la lumière de ceux d’État et de nation, ainsi que son positionnement (cause ou de conséquence) à l’égard de ces derniers, avec les dérives qui peuvent en découler.“

SODMANN, Timothy, 2013. Rückblick auf die historische Entwicklung des Grenzraumes. Westmünsterland. Jahrbuch des Kreises Borken. 2013. Bd. 2014, S. 15–22

BECHTLUFT, Horst Heinrich, 2012. Das doppelte Meppen. Die gemeinsame Geschichte einer Landschaft ohne Grenze. Use Bourtanger Moor. 2012. Nr. 1, S. 20–21

EKAMPER, Peter und Frank van POPPEL, 2012. Liefde met en zonder grenzen. De geografische horizon van huwelijkspartners in Limburg in de negentiende en vroege twintigste eeuw. Studies over de sociaal-economische geschiedenis van Limburg/Jaarboek van het Sociaal Historisch Centrum voor Limburg. 2012. Bd. 57, S. 79–103. DOI https://doi.org/10.58484/ssegl.v57i12420

STRUCK, Bernhard, 2012. Grenzregionen. Europäische Geschichte Online (EGO) [online]. 2012. Verfügbar unter: http://www.ieg-ego.eu/struckb-2012-de

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TERHALLE, Hermann, 2012. Das westliche Münsterland – die Ausbildung einer Grenzregion. Archivpflege in Westfalen-Lippe [online]. 2012. Bd. 77, Nr. 2, S. 4–11. Verfügbar unter: https://nbn-resolving.de/urn:nbn:de:hbz:6:2-293723

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