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BECHTLUFT, Horst Heinrich, 2014. „Landstürmer“ an der Grenze. Sie folgten der Mobilmachung im Ersten Weltkrieg vor 100 Jahren. Der Grafschafter. Heimatbeilage der Grafschafter Nachrichten. 2014. Nr. Juli/August, S. 30
BOESEN, Elisabeth, Gregor SCHNUER und Christian WILLE, 2014. Urbanität im ländlichen Raum. Wohnmigration in der deutsch-luxemburgischen Grenzregion. Jahrbuch für Geschichte des ländlichen Raumes. 2014. Bd. 11, S. 225–244. DOI https://doi.org/10.25365/rhy-2014-12
BRAUER, Jan, 2014. Over de grens. Verzet en verraad in de grensregio Nijmegen-Kleef 1930–1940. Jaarboek Numaga. 2014. Bd. 61, S. 40–69
BRÜLL, Christoph, 2014. Une frontière comme lieu de mémoire. L’espace frontalier belgo-allemand. Les Cahiers Nouveaux. 2014. Bd. 89, S. 39–41
DHUR, Michel, 2014. 800 Jahre Steffeshausen. Auch ein kleines Dorf hat seine Geschichte. Zwischen Venn und Schneifel. Zeitschrift für Geschichte, Brauchtum und Kultur. 2014. Bd. 11, S. 239–241
HOEBINK, Hein, 2014. Im Fadenkreuz europäischer Verflechtungen. Preußisch-niederländische Grenzangelegenheiten am Ende des 19. und zu Beginn des 20. Jahrhunderts. Düsseldorfer Jahrbuch. 2014. Bd. 84, S. 181–199
KNOTTER, Ad, 2014. Changing Border Regimes. Mining, and Cross-border Labor in the Dutch–Belgian–German Borderlands, 1900–1973. Journal of Borderlands Studies. 2014. Bd. 29, Nr. 3, S. 375–384. DOI https://doi.org/10.1080/08865655.2014.938969

„In this article the incidence of cross-border commuting to the mining districts in the Belgian–Dutch–German borderlands, known today as the Euregion Meuse-Rhine, will be related to the impact of state borders in different periods. Cross-border labor was closely related to changing border regimes based on uneven economic development, (un)familiarity, and the policy impact of powerful institutions like the state and the church. The main argument is that after the First World War in Dutch Limburg a conscious policy to control the labor force and bind them to mining in the region was relatively successful. Discrepancies in wages and employment opportunities led to border-crossing during restricted periods and for specific groups of workers only.“
KNOTTER, Ad, 2014. Mijnbouw en grensarbeid in het Nederlands-Belgisch-Duitse grensgebied, 1900–1973. Een overzicht. Studies over de sociaal-economische geschiedenis van Limburg/Jaarboek van het Sociaal Historisch Centrum voor Limburg. 2014. Bd. 59, S. 125–138. DOI https://doi.org/10.58484/ssegl.v59i12412
LENSING, Helmut, 2014. Die Grafschaft als Kriegsschauplatz? Aus den Schulchroniken. Der Erste Weltkrieg und die Grenze zu den Niederlanden. Der Grafschafter. Heimatbeilage der Grafschafter Nachrichten. 2014. Nr. November/Dezember, S. 46–47
LIEMANN, Bernhard, 2014. Der Erste Weltkrieg in Grenzstädten der Rhein-Maas-Region. Eine Projektskizze. Rhein-Maas. Geschichte, Sprache und Kultur. 2014. Bd. 5, S. 151–157
MARTINANT DE PRÉNEUF, Jean, 2014. L’évacuation par voie maritime des réfugiés belges des ports du Nord et du Pas-de-Calais. Octobre 1914–février 1915. Revue du Nord. 2014. Bd. 404–405, S. 85–109. DOI https://doi.org/10.3917/rdn.404.0085

Abstract: „De l’automne 1914 au printemps 1915, plusieurs dizaines de milliers de réfugiés belges affluent dans les ports du nord de la France. Afin de ne pas encombrer ces précieuses bases arrières, ils sont systématiquement évacués, soit vers la Grande-Bretagne, soit vers le sud de la France. Face à l’encombrement des réseaux ferrés et routiers, le ministère de la Guerre et celui de la Marine doivent organiser tant bien que mal une évacuation par voie maritime vers La Pallice. Cet article analyse cette opération à partir du point de vue de la Marine nationale en s’appuyant sur les archives centrales conservées au Service historique de la Défense à Vincennes. Ce dossier met tout d’abord de nouveau en lumière les limites de l’organisation française à la veille de la Grande Guerre que ce soit la charnière interarmées, l’articulation entre marines militaire et marchande ou la structure du commandement naval. Tout au long de l’opération, il s’avère ensuite impossible de dépasser l’improvisation initiale et de mettre sur pied un service régulier géré par la Marine nationale, même si les différents acteurs recherchent, au nom des impératifs humanitaire, patriotique et diplomatique, des accommodements permettant de dépasser corporatismes et particularismes. Enfin, la question des pêcheurs belges réfugiés à Dunkerque fait l’objet d’un véritable imbroglio entre d’une part les réfugiés, d’autre part les autorités françaises civiles et militaires, locales et gouvernementales et, enfin, le gouvernement belge en exil.“
THUNUS, Norbert und Klaus-Dieter KLAUSER, 2014. Jahrhundertalte Gebietsgrenzen an Amel und Rechter Bach. Zwischen Venn und Schneifel : Zeitschrift für Geschichte, Brauchtum und Kultur. 2014. S. 95–99
BÊCHET, Christophe, 2013. La Meuse comme « Barrière » ? Regards croisés sur une frontière stratégique entre la France et l’Allemagne (1870–1914). Revue belge de philologie et d’histoire. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1155–1186. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2013.8483

Abstract: "En marge des tractations de Londres de 1831, le maintien d’une garantie secrète – relative à la défense des forteresses belges par les Puissances en cas de guerre avec la France – transféra le fardeau de l’ancienne «Barrière des Pays-Bas » sur les épaules fragiles du nouveau Royaume de Belgique. À la grande satisfaction du Gouvernement belge, l’évolution des relations internationales relégua ensuite cette «convention des forteresses » aux oubliettes de l’histoire. Cependant, après la guerre franco-prussienne de 1870–1871, la probabilité d’un passage des armées française et allemande par la vallée de la Meuse s’accrut sensiblement. En conséquence, les villes de Liège et de Namur furent ceinturées de forts modernes. Ce changement de paradigme défensif suscita de nombreux commentaires diplomatiques et militaires en Belgique et à l’étranger. Dans le même temps, les nouvelles lignes de chemins de fer établies entre Meuse et Rhin conféraient un intérêt stratégique accru à la région Ardenne-Eifel. Au final, ces transformations de l’espace frontalier altérèrent les plans de guerre français et allemands. Au début du XXe siècle, la Meuse belge fut considérée par les stratèges avec un regard entièrement neuf."
BÊCHET, Christophe, Christoph BRÜLL, Florence CLOSE, Anthony DIGNEF und Catherine LANNEAU, 2013. Penser la frontière entre Meuse et Rhin. Introduction. Revue Belge de Philologie et d’Histoire [online]. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1115–1122. Verfügbar unter: https://www.persee.fr/doc/rbph_0035-0818_2013_num_91_4_8479

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BECK, Philippe und Hubert ROLAND, 2013. Imaginaire de l’espace et constructions identitaires. L’espace frontalier Meuse-Rhin entre nationalisme et internationalisme chez Josef Ponten et Friedrich Markus Huebner (1920–1940). Revue belge de philologie et d’histoire. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1239–1258. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2013.8489

Abstract: „Cet article étudie les modalités d’un imaginaire de l’espace frontalier Meuse-Rhin dans les essais et les textes de fiction de deux acteurs de la médiation culturelle entre la Belgique, la France et l’Allemagne : Josef Ponten (1883–1940) et Friedrich Markus Huebner (1886–1958). Intellectuels allemands patriotes mobilisés dans la Grande Guerre, Ponten et Huebner ont toutefois ensuite contribué au climat d’ouverture internationaliste des années 1920, avant de se laisser «mettre au pas » par l’Allemagne national-socialiste à partir de 1933. Conservant des formes d’ambivalence (notamment par rapport à une certaine mentalité pacifiste), y compris dans ce nouveau contexte nationaliste et idéologique, les discours sur l’espace frontalier de ces deux médiateurs entrent dans le cadre des Austauschdiskurse identifiés par Manfred Gangl et Gérard Raulet, qui désignent les contradictions internes de ces productions intellectuelles des années de crise de l’entre-deux-guerres. Étant donné les effets de long terme de ces textes, qui popularisent des connaissances historiques et géographiques en produisant des images et stéréotypes sur ces espaces culturels et leurs populations, nous les approchons également par la méthode de l’imagologie comparée.“
BROPHY, James M., 2013. Dimensions transnationales de la culture politique rhénane, 1815–1848. Revue d’histoire du XIXe siècle. 2013. Bd. 46, Nr. 1, S. 73–93. DOI https://doi.org/10.4000/rh19.4445

Abstract: „This essay examines the various strands of transnational influences in the Rhineland during the first half of the nineteenth century. The socioeconomic and political life of western Europe irrevocably penetrated the porous borders of the Rhineland. Ranging over the spheres of law, economy, language, religion, print culture, and political practices, the essay deploys the concept of “histoire croisée” to expose the broader transnational communicative spaces that illuminate the political hybridities of Rhenish social and political history. By exposing the breadth of transnational dimensions to Rhenish politics and civil society, this essay posits intercultural exchange as critical for discussions of German citizenship ideals, which include the impulse of democratization.“
BRÜLL, Christoph, 2013. Evoquer le «mythe médian». Les imaginaires carolingien et lotharingien dans les revendications territoriales belges à l’égard de l’Allemagne après 1945. Revue Belge de Philologie et d’Histoire. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1285–1301. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2013.8491

Abstract: „Le recours à un imaginaire ou à des légitimations historiques lors d’un règlement territorial après un conflit militaire est «classique » . Le présent article tente de montrer comment les imaginaires carolingien et lotharingien ont influencé certains acteurs des mouvements annexionnistes qui existaient dans la Belgique d’après 1945 et qui résonnent comme un écho de 1918. Si les revendications de la Belgique à l’égard de l’Allemagne vaincue se fondent finalement peu sur ce discours, l’article met en évidence que ce même discours qui voulait faire d’Aix-la-Chapelle voire de Cologne des villes «belges » , insistant sur la proximité entre «Belges » et «Rhénans » , servira à partir du milieu des années 1950 à sous-tendre le rapprochement des anciens ennemis. Le paysage d’histoire entre Meuse et Rhin est alors intégré dans le discours sur l’ «Occident » dont l’organisation politique est perçue comme nécessaire face à la menace soviétique.“
GROOT, Gerard-Réne de, 2013. De Duits-Nederlandse grenscorrecties tussen 1949 en 1963 en het Nederlandse nationaliteitsrecht. Studies over de sociaal-economische geschiedenis van Limburg/Jaarboek van het Sociaal Historisch Centrum voor Limburg. 2013. Bd. 58, S. 147–162. DOI https://doi.org/10.58484/ssegl.v58i12450
HARTER, Jean-Gabriel, 2013. La frontière entre Bar et Champagne dans l’espace ardennais, sous Thiebaut II de Bar (1221–1291). Revue belge de philologie et d’histoire. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1143–1154. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2013.8482

Abstract: „À la fin du Moyen Âge, le royaume de France était délimité à l’Est par les «quatre rivières » formant sa frontière avec l’Empire. La Meuse, l’un des quatre cours d’eau concernés, se trouvait pourtant au Moyen Âge central en terre d’Empire. La frontière se fixait alors plus à l’Ouest, dans le diocèse de Reims. À la fin du XIIIe siècle, le comte de Bar Thibaut II mena une action de longue haleine, efficace dans un temps limité, pour repousser les limites de son domaine le plus loin possible de la Meuse, s’attaquant ainsi aux vassaux du comte de Champagne qu’étaient les comtes de Rethel et de Grandpré. Sa politique de conquête, diversifiée et soutenue, lui permit de mettre la main sur une dizaine de châtellenies dans cet espace. Cependant, ses appétits éveillèrent ceux d’un roi de France détenant par mariage le comté de Champagne et dont l’action brisa celle de son opposant. Le conflit qui s’ensuivit permit ainsi à Philippe le Bel de placer la frontière entre France et l’Empire sur la Meuse.“
HENDRIKS, Oscar, 2013. Bevrijd en verhandeld. Nederlands-Duitse territoriale problemen in het gebied tussen Rijn en Maas van 1813 tot 1818. Van toen naar nu. 2013. Bd. 43, Nr. 1, S. 34–45

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