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Vollständige Literaturliste 1.011 Einträge

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Abstracts

BRÜLL, Christoph, Els HERREBOUT und Peter M. QUADFLIEG (Hrsg.), 2013. Eine ostbelgische „Stunde Null“? Eliten aus Eupen-Malmedy vor und nach 1944. Annalen des Symposiums im Staatsarchiv in Eupen am 15. September 2012. Brüssel: Generalstaatsarchiv. Quellen und Forschungen zur Geschichte der deutschsprachigen Belgier, 6. ISBN 978-90-5746-585-7
DEMANT, Froukje, 2013. A pact of silence. The social resettlement of Jewish survivors in the German-Dutch border region after World War II. In: Krijn THIJS und Rüdiger HAUDE (Hrsg.), Grenzfälle. Transfer und Konflikt zwischen Deutschland, Belgien und den Niederlanden im 20. Jahrhundert. Heidelberg: Synchron. S. 169–184. Amsterdam German studies, 4
DEVOLDERE, Luc, 2013. Grens, Frontière. 1713/2013. Rekkem: Ons Erfdeel vzw. ISBN 978-90-79705-13-9
EKER, Mark und Henk van HOUTUM (Hrsg.), 2013. Grensland. Atlas, essays en ontwerp. Geschiedenis en toekomst van het grenslandschap. Wageningen: Blauwdruk
ESSER, Raingard, 2013. A „Lost Quarter“ or the „Four Seasons“ of Guelders. Narratives of Belonging in the Eighty Years War. In: Raingard ESSER und Steven G. ELLIS (Hrsg.), Frontier and border regions in early modern Europe. Hannover: Wehrhahn. S. 175–198. The formation of Europe, 7
FUN, Hans und Jan van ECK (Hrsg.), 2013. Historischer Kanon Düffel und Ooijpolder. Eine Geschichte in fünfzig Fenstern. Millingen aan de Rijn. Heemkundekring De Duffelt, 25. ISBN 978-90-802746-0-0

Aus dem Verlagstext: „Der historische Kanon von Düffel und Ooijpolder erzählt in fünfzig Fenstern die Geschichte der Region zwischen Kleve (D) und Nijmegen (NL), und zwar sowohl für den deutschen als auch für den niederländischen Teil. Dabei handelt es sich um den ersten und einzigen grenzüberschreitenden Kanon. Der historische Kanon wurde von Hans Fun und Jan van Eck zusammengestellt und verfasst und anschließend in deutscher und niederländischer Sprache veröffentlicht. Das Werk besteht aus fünfzig ausgewählten Themen, die einen Überblick darüber bieten, „was jeder auf jeden Fall über die Geschichte und Kultur von Düffel und Ooijpolder wissen sollte“. Von der Entstehung der Endmoräne bis hin zum Zweiten Weltkrieg.“
GROOT, Gerard-Réne de, 2013. De Duits-Nederlandse grenscorrecties tussen 1949 en 1963 en het Nederlandse nationaliteitsrecht. Studies over de sociaal-economische geschiedenis van Limburg/Jaarboek van het Sociaal Historisch Centrum voor Limburg. 2013. Bd. 58, S. 147–162. DOI https://doi.org/10.58484/ssegl.v58i12450
HARTER, Jean-Gabriel, 2013. La frontière entre Bar et Champagne dans l’espace ardennais, sous Thiebaut II de Bar (1221–1291). Revue belge de philologie et d’histoire. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1143–1154. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2013.8482

Abstract: „À la fin du Moyen Âge, le royaume de France était délimité à l’Est par les «quatre rivières » formant sa frontière avec l’Empire. La Meuse, l’un des quatre cours d’eau concernés, se trouvait pourtant au Moyen Âge central en terre d’Empire. La frontière se fixait alors plus à l’Ouest, dans le diocèse de Reims. À la fin du XIIIe siècle, le comte de Bar Thibaut II mena une action de longue haleine, efficace dans un temps limité, pour repousser les limites de son domaine le plus loin possible de la Meuse, s’attaquant ainsi aux vassaux du comte de Champagne qu’étaient les comtes de Rethel et de Grandpré. Sa politique de conquête, diversifiée et soutenue, lui permit de mettre la main sur une dizaine de châtellenies dans cet espace. Cependant, ses appétits éveillèrent ceux d’un roi de France détenant par mariage le comté de Champagne et dont l’action brisa celle de son opposant. Le conflit qui s’ensuivit permit ainsi à Philippe le Bel de placer la frontière entre France et l’Empire sur la Meuse.“
HAUDE, Rüdiger, 2013. „Ein gewisses Maß an ‚Anarchie‘“. Herrschaft und ihre Bestreitung an einer Staatsgrenze. In: Krijn THIJS und Rüdiger HAUDE (Hrsg.), Grenzfälle. Transfer und Konflikt zwischen Deutschland, Belgien und den Niederlanden im 20. Jahrhundert. Heidelberg: Synchron. S. 149–166. Amsterdam German Studies, 4
HENDRIKS, Oscar, 2013. Bevrijd en verhandeld. Nederlands-Duitse territoriale problemen in het gebied tussen Rijn en Maas van 1813 tot 1818. Van toen naar nu. 2013. Bd. 43, Nr. 1, S. 34–45
JANSSEN, Herman (Hrsg.), 2013. Hoogspanning aan de Belgisch-Nederlandse grens. De Eerste Wereldoorlog aan de rijksgrens met Baarle. Baarle-Hertog: Heemkundekring Amalia van Solms Baarle-Hertog-Nassau. ISBN 978-90-74945-00-4
JÜRGENS, Hanco, 2013. The history of the Dutch border. Self-evident and contested. In: Mark EKER und Henk van HOUTUM (Hrsg.), Grensland. Atlas, essays en ontwerp. Geschiedenis en toekomst van het grenslandschap. Wageningen: Blauwdruk. S. 120–137
KAPLAN, Benjamin J., 2013. Religieuze ontmoetingen in de grensgebieden van vroegmodern Europa. Het geval Vaals. Studies over de sociaal-economische geschiedenis van Limburg/Jaarboek van het Sociaal Historisch Centrum voor Limburg. 2013. Bd. 58, S. 30–44. DOI https://doi.org/10.58484/ssegl.v58i12445
LANTOINE, Jennifer und Ludovic NOTTE, 2013. Halluin. Une borne à la frontière d’un territoire démembré en 1779. Revue du Nord. 2013. Bd. 403, S. 299–311. DOI https://doi.org/10.3917/rdn.403.0299

Abstract: „En novembre 2012, une borne de grès (d’Ostrevant ?), figurée de l’aigle impérial autrichien et de fleurs de lys et opposées, a été découverte en diagnostic sur la commune de Neuville-en-Ferrain (Nord). Basculée, à une date inconnue, dans un fossé, son emplacement primitif, à quelques décimètres de là, marquait la frontière définie par la Convention des limites de 1779 puis définitivement confirmée par la Convention de Courtrai du 28 mars 1820. Les liasses de correspondance du fonds de l’Intendance (aux archives départementales du Nord) permettent de suivre dans le détail, le long et tortueux processus de délimitation et d’abornement préalable, par réduction des enclaves héritées du Moyen Âge, à l’établissement de la première véritable frontière linéaire. La borne d’Halluin est précisément issue d’un lot de 114 pièces produites en 1780-1781 à Lille au faubourg de La Barre dans l’atelier du maître-paveur François Brasme. L’inventaire, sinon le sauvetage, de ces petits monuments, disposés à l’endroit des seuls territoires démembrés, est à entreprendre. Le statut juridique de ces bornes, considérées ici comme mobilier archéologique, mériterait aussi d’être précisé car il apparaît qu’elles marqu[ai]ent une frontière au tracé confirmé ; seraient-elles toujours significatives et immobilisées?“
LASCONJARIAS, Guillaume, 2013. Entre guerre et paix. Neutralité, armistice et réciprocité sur la frontière entre Metz et Luxembourg dans la première moitié du XVIIIe siècle. In: Combattre à l’époque moderne. Actes du 136e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Faire la guerre, faire la paix », Perpignan, 2011 [online]. Paris: Editions du CTHS. S. 115–123. Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques, 136. Verfügbar unter: www.persee.fr/doc/acths_1764-7355_2013_act_136_6_2478

„Sur la frontière orientale du royaume de France, et plus particulièrement dans les Trois Évêchés, les élites militaires et civiles disposent, tout au long du XVIIIe siècle, d’une certaine autonomie qui les conduit à mener, quand l’occasion se trouve, de véritables opérations de guerre afin de régler des affaires locales. Paradoxalement, au milieu d’un conflit comme la guerre de succession d’Autriche, ces mêmes acteurs s’évertuent à maintenir un état de paix ou de neutralité armée, avec l’accord de leurs souverains respectifs. C’est le cas des relations entre Metz et Luxembourg tout au long du siècle. Quel rôle jouent les acteurs locaux et provinciaux sur ces logiques de guerre et de paix ? Quel est leur poids dans la décision de faire la guerre et éventuellement d’entraîner le pays dans un conflit ? A contrario, en période de guerre, comment s’arrangent-ils pour préserver leur espace et en faire un havre?“
LIEMANN, Bernhard, 2013. Living on the edge. Comparative research on German, Belgian and Dutch border towns at war (1914–1919). In: Krijn THIJS und Rüdiger HAUDE (Hrsg.), Grenzfälle: Transfer und Konflikt zwischen Deutschland, Belgien und den Niederlanden im 20. Jahrhundert. Heidelberg: Synchron. S. 141–148. Amsterdam German studies, 4. ISBN 978-3-939381-59-4
LIEMANN, Bernhard, 2013. „Soziale Inklusion durch Krieg?“ Zivilgesellschaftliche Juli- und Augusterlebnisse 1914 an der deutsch-belgischen Grenze. In: Norbert FRANZ und Jean-Paul LEHNERS (Hrsg.), Nationenbildung und Demokratie. Europäische Entwicklungen gesellschaftlicher Partizipation. Frankfurt am Main. S. 299–317. Luxemburg-Studien = Études luxembourgeoises, 2
MOREAU DE GERBEHAYE, Claude de, 2013. La frontière, miroir des conceptions de l’État à l’époque moderne. Revue belge de philologie et d’histoire. 2013. Bd. 91, Nr. 4, S. 1227–1238. DOI https://doi.org/10.3406/rbph.2013.8487

Abstract: „La frontière signifie bien davantage qu’un simple tracé linéaire sur une carte géographique. Car ce tracé est une limite territoriale porteuse de pouvoirs politiques et de souveraineté. La frontière a connu des expressions différentes au fil des siècles : les tracés géométriques contemporains marquent les esprits à tel point (de la ligne bleue des Vosges, au rideau de bambou, au mur israélien en construction) que d’autres expressions deviennent impensables. Elles sont l’expression contemporaine de notions remontant à l’Antiquité (limes, mur d’Hadrien) et remises à l’honneur aux temps modernes (pré carré, frontières «naturelles » ) avec la résurgence de l’État. Une attention particulière est portée sur les modalités d’expression des séparations entre entités politiques : zones, condominium, enclaves territoriales, dépendances personnelles. Ensuite, le concept de frontière sera observé à la lumière de ceux d’État et de nation, ainsi que son positionnement (cause ou de conséquence) à l’égard de ces derniers, avec les dérives qui peuvent en découler.“
O’CONNELL, Vincent, 2013. „Left to Their Own Devices“. Belgium’s Ambigious Assimilation of Eupen-Malmedy (1919–1940). Revue Belge d’Histoire Contemporaine [online]. 2013. Bd. 43, Nr. 4, S. 10–45. Verfügbar unter: https://www.journalbelgianhistory.be/en/system/files/article_pdf/004_OConnell_Vincent_2013_4.pdf

„The inter-war period in Eupen-Malmedy remains a sensitive arena in which the experiences and sensibilities of its inhabitants have barely been broached by historians. The controversial milestones of the interwar period in Eupen-Malmedy have been covered over with the palimpsest of what the late Tony Judt has referred to elsewhere as ‘selective forgetting’ where communities as well as individuals shield certain episodes or events of the past from intrusion by historians1. The German historian Freddy Cremer describes this phenomenon as akin to ‘amnesia as therapy’. The period following the Nazi invasion and annexation of the former Germany districts in 1940 and their later liberation conspired to further compound an already complex situation. Since then the historical narrative has been shrouded beneath a veil of silence. This article aims in some small way to pull back this veil so that in Cremer’s words “the past may not be left untouched”.“

View on www.journalbelgianhistory.be
ROELS, Leen, 2013. Vervolgd in Limburg. Joden en Sinti in Nederlands-Limburg tijdens de Tweede Wereldoorlog. Hilversum: Verloren. Maaslandse monografieën, 76. ISBN 978-90-8704-353-7

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